Assez mal connue, mais pourtant indispensable à toute installation électrique ou électronique, l'industrie du câble conserve une forte implantation dans l'Hexagone. Etat des lieux d'un pan de l'électronique française qui a fait du « produire en France » l'un de ses (nombreux) leitmotive.

Massivement convertis aux bienfaits des architectures à illumination par l'arrière (BSI), les fabricants de capteurs d'images Cmos planchent sur l'avenir : tour d'horizon des forces en présence.

Les difficultés encore à vaincre laissent à penser que l'usage industriel de l'écriture directe à partir de multiples faisceaux d'électrons et de la lithographie aux UV extrêmes ne deviendra une réalité qu'à partir de la technologie 10 nm. Pour le 14 nm, il devrait y avoir des poches d'écriture directe et de lithographie EUV dans un paysage dominé par la lithographie 193 nm en immersion avec multipatterning.

La dernière étude de Semi annonce un investissement de 39,5 milliards de dollars en équipements de production de semi-conducteurs (hors encapsulation et test) en 2012, soit + 2 % par rapport à 2011. En janvier, Semi tablait sur 35 milliards « seulement ». Pour 2013, les fabricants de semi-conducteurs prévoient d'investir 46,3 Md$.

Les dernières avancées en matière de circuits spécifiques rendent possible la conception de circuits de mesure de courant à effet Hall en boucle ouverte dotés d'une précision accrue et d'une plus grande souplesse d'utilisation.

Dans de nombreuses applications, notamment celles mettant en jeu des capteurs sans fil, s'affranchir du secteur revêt un grand intérêt. La solution consistant à faire appel à des batteries n'est en réalité que l'illusion de cette indépendance, car elle n'évite pas une intervention humaine pour remplacer des piles ou recharger (via le secteur !) des accumulateurs. Tous inconvénients évités avec une cellule photovoltaïque.