Les suppressions d'emplois s'inscrivent dans le cadre d'une restructuration mondiale du groupe informatique. Elles pourraient concerner entre 1 180 et 1 385 postes en France, selon des sources syndicales.

L’objectif est la promotion de politiques faisant progresser l'adoption de solutions ouvertes et interopérables dans le réseau d'accès radio (Radio Access Network ou RAN) pour la 5G.

L'américain a généreusement augmenté la quantité de mémoire cache Sram et Dram embarquée dans ses processeurs multicoeurs pour centres de données informatiques. 

Les deux entreprises coopèrent pour réduire les coûts d'ingénierie, stabiliser la qualité des produits et améliorer la productivité en usine.

Cette acquisition positionne IBM comme le premier fournisseur de "cloud hybride" et accélère son "business model" à forte valeur ajoutée, étendant l’innovation open source de Red Hat à un plus grand nombre de clients. IBM conservera l’indépendance et la neutralité de Red Hat qui renforcera ses partenariats existants afin d’offrir aux clients la liberté, le choix et la flexibilité.

Racheté pour 430M$, cet ancien site d'IBM permet à ON Semiconductor d'accéder à la fabrication sur tranches de 300 mm et aux technologies 65 nm et 45 nm.

IBM prévoit le développement et le pilotage en France de plusieurs projets IA et quantique d’envergure mondiale.

IBM compte environ 7000 salariés à ce jour, mais avait supprimé quelque 1600 postes entre 2013 et 2016. Il en comptait plus de 26000 au début des années 1990.

L'américain décrit dans le détail les améliorations apportées à ses processeurs pour serveurs de données.

L'américain et ses partenaires de recherche planchent sur un process de fabrication de puces en 5 nm à partir d'une structure de transistors GaaFET original.