Un code-barres sur une puce ? C’est la décision prise par Cambridge GaN Devices : imprimer sur le boîtier de ses circuits de puissance en nitrure de gallium un code-barres 2D, lisible au moyen d’un lecteur standard du commerce. L’objectif est double : non seulement faciliter l’identification et le suivi du circuit et du lot pour mieux détecter les contrefaçons, mais aussi connaître la position initiale du circuit sur la tranche qui a servi à sa fabrication. « Nous savons que les rendements sont plus faibles au bord du wafer ; nous pouvons désormais voir comment la position sur la tranche peut affecter les performances du composant », explique Zahid Ansari, vice-président chargé des opérations chez CGD. Ces informations sont ensuite renvoyées à la fonderie pour améliorer le process de fabrication.
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