« Les grands programmes ne sont plus la réponse adéquate à nos difficultés industrielles car, si les marchés d’hier pouvaient se décider entre pairs sortis des grandes écoles, ceux d’aujourd’hui dépendent des humeurs du citoyen de base et de ses aspirations », estime André-Yves Portnoff, du groupe “ Futuribles ”(1). Suite au rapport de Jean-Louis Beffa intitulé “ Pour une…
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