
Et ce avec la bénédiction du fonds INCJ (Innovation Network Corporation of Japan).
Ce dernier se dit en effet prêt à investir dans l’entité qui serait issue de la fusion entre la coentreprise Nissan-NEC existante et Sony Energy Devices.
Selon le Daily Yomiuri, une telle opération aurait pour but d’éviter que des technologies sensibles ne tombent aux mains de concurrents chinois et taïwanais.
Sony Energy Devices, pionnière dans le domaine des batteries Li-ion pour ordinateurs et téléphones portables, dispose de trois usines au Japon et de deux unités d’assemblage en Chine et à Singapour. Ses actifs sont évalués à 578 millions de dollars.