
L’objectif de cette alliance, qui prendra un tour juridique plus consistant en septembre prochain, est de proposer des solutions technologiques complètes pour le test de systèmes aéronautiques de type mécatronique, en assurant la corrélation avec la simulation de modèles numériques. Au delà, il s’agit de “d’apporter une réponse globale pertinente aux industriels, qui montent dans la chaîne de valeur, et d’avoir une taille critique pour peser plus fort dans les appels d’offre“, explique Christian Garnier, le président d’Arion.
A l’origine de cette alliance, se trouve le projet de recherche baptisé “Aggrégation”, présenté et récemment refusé dans le cadre du FUI 10 (Fonds Unique Interministériel). L’idée n’a cependant pas été abandonnée et a retrouvé sa place dans la cadre du plan filière mis en place par la région Ile-de-France, avec le soutien du pôle de compétitivité aérospatial Astech Paris Région, avec à la clé un financement de l’ordre d’un million d’euros.