
Pour cela, l’allemand a utilisé une technologie de puce émissive en couche mince agrémentée du procédé Nanostack. Grâce à ce procédé, il est possible de réaliser des puces émissives en couche mince disposant non pas d’une mais de deux jonctions p-n dont la croissance a été effectuée l’une sur l’autre. Ce qui implique un fonctionnement à une tension doublée par rapport à celle des modèles conventionnels.
Grâce à ces performances, un même système de sécurité et de détection de mouvement utilisera un nombre plus restreint de composants pour une réduction du coût global. A noter que le choix d’une longueur d’onde de 850 nm est basé sur un bon compromis entre maximum de sensibilité spectrale des caméras CCD et Cmos et émission lumineuse invisible à l’oeil nu.