
Il s’agit de mémoires non-volatiles réinscriptibles dont les besoins en tension sont «suffisamment peu élevés pour répondre aux besoins de produits d’électronique grand public comme les jeux et jouets», précisent les deux sociétés dans un communiqué.
Associées à un circuit de lecture/écriture, les mémoires de Thin Film ouvrent la voie à de nouveaux types de jeux et jouets interactifs et connectés en ligne. Cela d’autant plus que dans le futur, les mémoires du Norvégien pourront être intégrées avec la technologie de transistor film mince plastique de l’Allemand.
Les deux sociétés espèrent ainsi adresser ensemble le marché des étiquettes RF imprimées.
L’électronique plastique prend forme