
Ainsi, le LTM9011-14 affiche-t-il un rapport signal sur bruit de 73,1 dB et un SFDR de 88 dB. A 125 Méch./s, sa consommation sous 1,8 V est de seulement 140 mW par canal. En mode veille, cette valeur chute à quelque 2 mW.
Les données sont au format série LVDS (à 1 ou 2 bits par canal) afin de limiter le nombre de broches du circuit et simplifier le routage sur la carte. La configuration du µModule s’effectue par l’intermédiaire d’une interface SPI.
En option : un générateur de données aléatoires en sortie et un stabilisateur du rapport cyclique de l’horloge.
Les applications visées par ce CAN sont multiples : les architectures Mimo pour stations de base WiMAX/LTE, les têtes radio déportées, l’imagerie médicale, les radars…
Pour leur part, les LTM9009-14 (80 Méch./s) et LTM9010-14 (105 Méch./s) se contentent respectivement de 94 mW et 113 mW par canal.
Pour tous ces CAN en boîtier BGA à 140 connexions (11,25 × 9 × 2,72 mm), les condensateurs de découplage en céramique sont intégrés.