La société a en effet signé un accord de licence avec le britannique afin d’utiliser certains de ses cœurs dans ses futurs circuits. Ceux-ci associeront sur la même puce un processeur et de la mémoire flash d’architecture MirrorBit. Une combinaison qui pourra être aisément complétée par de l’IP provenant d’une tierce-partie. Les cœurs en question
…
Cet article n'est pas accessible publiquement.
Connectez-vous pour accéder à ce contenu.