Cinq fonds de capital-risque totalisant plus de 200 M d’euros sont mis à contribution pour barrer la route à une entreprise étrangère qui s’intéresserait de trop près à une technologie “ sensible” française.
Les start-up françaises possédant des technologies dites sensibles devraient désormais être à l’abri d’une mainmise de groupes ou de puissances étrangères sur leur savoir-faire.
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