« D’ici 8 ans, 50 % des passifs d’un circuit imprimé pourraient être enterrés »

Le 18/11/2004 à 7:00 par Youssef Belgnaoui

Selon Richard Ulrich, spécialiste des matériaux pour composants passifs à l’université de l’Arkansas aux Etats-Unis, pour continuer à miniaturiser et augmenter les fonctionnalités de leurs équipements, les fabricants vont devoir faire appel aux technologies d’intégration des passifs dans les circuits imprimés.

Doit-on parler de composants passifs intégrés ou bien de composants passifs enterrés ?

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