Les industriels de la microélectronique s’avouent incapables de prévoir l’évolution des effectifs à plus de trois ans. Le bon profil, pour eux, est un ingénieur compétent sur le plan technologique, mais aussi ouvert sur un environnement multiculturel, car la hiérarchie est bien souvent basée hors d’Europe.
Les entreprises du semiconducteur n’ont aucune visibilité sur les
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