L’électronique mondiale, fondamentalement, se porte bien. Mieux en tout cas que ce que l’on peut lire ou entendre ici ou là.
Nous déplorions en janvier dernier dans ces colonnes les conséquences d’un pessimisme ambiant presque universellement partagé dans le milieu de l’électronique occidentale et qui, à notre avis, n’avait pas toujours lieu d’être – sauf
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