Le Japonais ambitionne de faire passer de 12 % à 30 % la part de son chiffre d’affaires réalisée sur le Vieux Continent, grâce à de multiples initiatives.
« Au Japon, nous sommes un peu le Coca-Cola du micro-contrôleur ; ici, nous sommes encore contraints de faire du branding pour faire connaître notre marque », constate Joachim Huepper, responsable
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